Jardin ouvrier : une nouvelle gestion!

Les jardins ouvriers sont en perte de vitesse. Un renouveau de gestion, de parcéllisation, de pédagogie, de participation, d'ouverture sont nécessaires pour les revitaliser.

Une participation plus active de la municipalité est à envisager. Le bénévolat a fait son temps, il sera impératif pour une relance efficace du projet d'embaucher un professionnel capable de gérer l'entretien des parcelles, de les remettre en état, de donner des conseils pour entretenir, cultiver sa parcelle surtout aux débutants.

L'association peut continuer, elle gèrera les adhésions,  le jardinier pour les tâches à effectuer, le public au cours d'opération portes ouvertes, faire venir des jardiniers pour des conférences pour mieux cultiver. Supprimer toutes formes de produits nocifs, inciter les gens à une culture bio. 

Concevoir des parcelles de 25 à 50 m2 pour les primos jardinier. Créer une bourse d'échanges des plans et graines (qui pourra être gérée par le jardinier). Se procurer du fumier pour l'ensemble des jardins ceci se faisant sur 2 ou 3 ans pour fournir l'ensemble des parcelles, cet apport pouvant être proportionnel à la surface du jardin.

Les adhérents, dans ce nouveau contexte, devront aider aux tâches communes à raison de 1 ou 2 journées dans l'année. 

Le prix des adhésions étant proportionnelles à la surface du jardin. L' entretien des abords de son jardin devant être fait par soi même. Envisager une location de matériel types tondeuses ou autres engins permettant aux adhérents de leur faciliter la tâche.

Surtout ouvrir le jardin, quand je dis ouvrir le jardin c'est supprimer cette barrière avec ses piques, laisser rentrer les visiteurs qui peuvent être des futurs jardiniers, favoriser le contact adhérents non adhérents.